Spectacle tous publics
Texte : Matei Vișniec
Distribution : Élisabeth Frévin, Julien Malot, Agnès Picot-Cuzenic, Alain Parrot, Catherine Thiery, Jocelyn Vérité
Lumières : Bernard Durupt
Sons, décors et bricolages : Pascal Arquillère
Mise en scène : Jean-Pierre Durand
Durée du spectacle : en création
Première du spectacle à l’Espace Baudelaire : fin 2024, début 2025
Spectacle tous publics
Texte : adaptation libre de la pièce « La réunification des deux Corées » de Joël POMMERAT
Distribution : Élisabeth Frévin, Julien Malot, Agnès Picot-Cuzenic, Alain Parrot, Catherine Thiery, Jocelyn Vérité
Lumières : Bernard Durupt
Sons, décors et bricolages : Pascal Arquillère
Affiche : Evelyne Lagnien
Mise en scène : Jean-Pierre Durand
Durée du spectacle : 1 h 35
Première du spectacle à l’Espace Baudelaire : Ven. 13 mai 2022 à 20h
1+1=2 ou 1+1=3
En venant voir ce spectacle, qui aborde ce sujet essentiel qu’est le couple vous perdrez toute
notion de mathématiques !
Ménage à deux, à trois, ce n’est pas un spectacle de boulevard que l’on vous propose, ni même
de route nationale, pas plus que de chemin vicinal !
C’est un périple étrange que metteur en scène et comédiens ont tenté d’éclaircir à partir des
textes de Joël Pommerat, un auteur contemporain.
Textes déconcertants, improbables, subtils, parfois dérangeants …mais ô combien profonds,
avec des personnages en quête d’amour et plus encore. L’un d’entre eux l’affirme ou le
questionne:« L’amour ne suffit pas ».
Vous pourrez rire ou pleurer selon votre humeur et votre implication.
Nous gageons que cette épopée dans cette jungle des sentiments, peuplée de fantômes ou de
revenants et de belles preuves d’amour ne vous laissera pas indifférents.
Elle vous emmènera loin des sentiers battus, pour affronter avec les mots de l’auteur, les
maux d’amour et peut-être tenter de les apprivoiser, peut-être…
Nous avons choisi dix scènes du texte de Joël Pommerat : « La Réunification des deux Corées »
(2013). Corée, ici métaphore de l’amour irréconciliable ou pas.
Nous nous sommes inspirés pour la scénographie et les costumes du peintre américain
Edward Hopper.
Ce spectacle très musical est rythmé par de multiples versions du standard américain « Smoke
gets in your eyes » (1933).
Ils me disent qu’un jour je comprendrai
Que ceux qui aiment sont aveugles
Quand ton cœur brûle, tu réalises
Que le brouillard envahit tes yeux.
Les spectateurs entrent dans la salle de spectacle et s’installent pour assister à une pièce. Sur la scène, on peut lire le titre « La Marchande de Londres ». Le spectacle commence. Soudain deux riches commerçantes protestent bruyamment . Dans ce théâtre on ne ferait que se payer la tête des bourgeois depuis des années. Elles soudoient alors la patronne des comédiens et demandent que leur commis Ralf intègre le spectacle pour défendre leur corporation…
Une double partition sera jouée entre le commis épicier devenu chevalier et les comédiens de la pièce « La Marchande de Londres » qui acceptent bon gré mal gré d’improviser à partir de leur propre texte sur les propositions de jeu délirantes de Ralf, » le Chevalier à l’ardent pilon ».
Trois niveaux de jeu vont se télescoper durant le spectacle : la pièce « La Marchande de Londres » (jouée en costumes modernes d’un Londres imaginaire des années soixante), pièce élisabéthaine à la manière de Shakespeare, avec d’autre part l’histoire improvisée de Ralf (roman de chevalerie joué de manière décalée ) et ces deux commerçantes riches se trouvant dans la salle. Les trois parties vont progressivement fusionner provoquant un chaos hilarant.
Pièce sur le pouvoir et l’argent. Mais le drame côtoie vite la farce et le burlesque. Les personnages ne sont pas des héros. Leurs calculs, leur veulerie, leur férocité les rendent particulièrement humains. Le plaisir vient de là. Nos arrière, arrière, arrière,… -grands-parents nous ressemblent étrangement.
Spectacle tous publics
Texte : adaptation libre de la pièce de l’auteur anglais Francis Beaumont publiée en 1607
Distribution : Maud Chesneau, Élisabeth Frévin, Julien Malot, Sylvie Mazoyer, Alain Parrot, Aurore Stréby, Catherine Thiery, Jocelyn Vérité
Lumières : Bernard Durupt
Sons : Pascal Arquillère
Affiche et aide au décor : Evelyne Lagnien
Mise en scène : Jean- Pierre Durand , Bernard Daisey
Durée du spectacle : 1h40
Première du spectacle à l’Espace Baudelaire (Dijon):
vendredi 31 janvier 2020, 20h
